Le réseau Mangrove

Le Réseau d’Échanges Réciproques de Savoirs (RERS) Mangrove est un espace où l’on valorise les intelligences collectives, l’autogestion et la richesse des savoirs partagés. Il repose sur une conviction forte : chacun·e a quelque chose à apprendre et à transmettre.

Ce réseau favorise l’autonomie, la responsabilisation et l’implication citoyenne de ses membres. Il permet à chacun·e de devenir acteur ou actrice de son apprentissage dans une logique de réciprocité. Les savoirs et savoir-faire échangés ne sont pas hiérarchisés : tous ont la même valeur.

Le Collectif du RERS Mangrove

Le collectif, c’est le cœur vivant du réseau. Il est animé et géré par les participant·es eux-mêmes. Ceux et celles qui le souhaitent peuvent y prendre une part active : organiser des projets collectifs, valoriser les échanges, accueillir les nouveaux membres, animer la page Facebook "RERS Mangrove", etc.

Le collectif se réunit chaque mois pour réfléchir au fonctionnement du réseau, évaluer certaines pratiques, et faire émerger de nouvelles idées. Il organise aussi des moments conviviaux comme les « Apérorencontres Viv(r)e la réciprocité » ou la Fête du Réseau, autant d’occasions de tisser des liens au-delà des échanges.

Une méthode reconnue

Le CAL Namur est reconnu pour son expertise en matière de RERS. Des ateliers sont régulièrement organisés pour faire découvrir la méthodologie, l’histoire des RERS, la place des bénévoles et les principes qui guident le projet Mangrove.

Des échanges pour tous et toutes

Tout au long de l’année, des échanges de savoirs sont organisés en binôme ou en groupe, au CAL Namur ou ailleurs. Les modalités sont définies par les participant·es, dans un esprit d’ouverture et de respect mutuel.

Les échanges concernent sept grandes thématiques :

• La culture

• Les éco-échanges

• L’informatique

• Les langues

• La santé et le bien-être

• La scolarité

• Le tissage de liens

Le public est divers, intergénérationnel et interculturel : étudiants, travailleurs, personnes réfugiées, pensionné·es, allocataires sociaux, etc. Ensemble, ils et elles construisent un réseau solidaire où le savoir circule librement et en toute égalité.